ESBVA : Le club de basket à Villeneuve d’Ascq qui te fera vibrer… et pas qu’un peu ! Alors toi, oui toi qui cherches une dose d'adrénaline, de sueur héroïque et de vibes de folie, pose ton regard (et ton cœur) sur l'équipe féminine la plus redoutable du Nord : l’ESBVA-LM, alias les Guerrières. Ce n’est pas juste un club de basket, c’est une machine à émotions, un concentré de puissance sur parquet, une claque de passion à chaque dribble. Tu pensais connaître l’intensité ? Attends d’assister à un match au Palacium. Là, tu comprends que le sport devient spectacle. Et pas un spectacle tranquille genre opéra en sourdine, hein. Non non, ici c’est plutôt Avengers version slam dunk et défense de l’espace.
Une équipe qui ne lâche rien (sauf peut-être un cri de victoire)La légende raconte qu’un jour, une équipe a osé croire qu’elle allait dominer l’ESBVA sur son terrain... On ne l’a jamais revue (bon ok, elle est juste repartie avec un score dans les chaussettes, mais tu vois l’idée). Les joueuses ? De vraies machines de guerre avec un cardio en titane et une rage de vaincre qui ferait trembler n’importe quelle salle. En 2015, elles ont carrément raflé l’Eurocoupe, tranquille (enfin façon de parler, y’avait du sang, de la sueur et des pompes à 6h du mat’). Et depuis ? Elles continuent d’envoyer du lourd en LFB et en Euroligue, avec un rythme de compétition infernal (mais genre infernal cool, pas cauchemar de réveil sans café).
Mais le meilleur dans tout ça ? C’est que tu peux vivre tout ça en direct, dans une ambiance de dingue. Direction la billetterie pour t’installer au Palacium, cette arène pleine de bruit, de couleurs, et de supporters déchaînés (les Zhurlants, on t’en parle juste après, t’inquiète).
Le Palacium : là où les Guerrières entrent en transe (et toi aussi)Si t’as jamais assisté à un match au Palacium, alors mon pote, t’as raté un truc. Parce que dès que les Guerrières foulent le parquet, y’a un truc qui se passe. Un frisson collectif, une tension dans l’air, et surtout une ambiance survoltée comme un concert de rock version basket. Les Zhurlants, les fans ultimes, sont là pour mettre le feu. Ces gars-là sont pas venus faire du tricot, hein. Percussions, chants à réveiller un défunt, maquillage de guerre… c’est du sérieux.
Et toi, au milieu de tout ça, t’es happé. T’en oublies ton téléphone (sauf pour les stories), t’as le cœur qui tape à chaque panier, et t’as cette envie soudaine de t’acheter un maillot taille XXL, même si t’as jamais mis les pieds sur un terrain (pas grave, c’est l’intention qui compte).
Un club, une communauté, une grande famille (avec du muscle et du mental)Ce qui fait la force de l’ESBVA, c’est pas juste ses joueuses qui claquent des paniers à trois points en souriant. C’est aussi l’ambiance autour, cette espèce de tribu qui gravite autour du club, comme une famille unie par la passion du ballon orange. Y’a les bénévoles, les partenaires, les enfants qui rêvent de devenir pro, et toi, cher supporter (ou futur accro), qui t’apprêtes à tomber amoureux de cette équipe.
Et quand vient la fin du match, qu’il soit gagné ou arraché avec les dents (oui oui, ça arrive), t’as toujours droit à un moment de communion. Les joueuses qui saluent, les enfants qui descendent sur le terrain pour taper dans la main, les Zhurlants qui continuent à chanter comme si c’était pas fini. Et toi ? Tu ressors avec des souvenirs plein les yeux et le cœur tout chaud (et la voix un peu cassée mais ça, c’est la marque des vrais).
Petit plus ;) L’ESBVA, c’est pas qu’un club, c’est une légende en construction. Et si t’as envie de faire partie de cette belle aventure, que ce soit dans les gradins, sur Insta ou en suivant les scores comme un geek de la balle orange, t’es au bon endroit. Ah, et petite astuce : si tu veux vraiment être intégré, apprends deux ou trois chants des Zhurlants. C’est comme un passeport pour l’élite du supporterisme. Et si t’es timide ? Tape des mains. Fort. Très fort. Ça marche aussi (mais évite de le faire au bureau le lundi matin, ton boss risque de pas capter la vibe).